Usines à Chiots

Notre pétition pour fermer les usines à chiots vise à sauver les chiots des élevages intensifs en créant une lois au Québec pour banir les usines à choits une fois toute. Nous avons besoin d'obliger les éleveurs d'avoir un permit pour élever des animaux et plus d'inspecteurs pour checker comment les chiens sont logés, nourrient, et s'il ont de l'exercise et soins vétérineaux. Nous avons environ 1,500 à 2,000 usines à chiots au Québec rapportant plus de 400, 000 choits par année et encore plus de chatons. Nous encourageons les gens d'acheter des aliments pour animaux de compagnie aux magasins qui ne vendents pas d'animaux (comme le Mondu) et que nous adoptons nos animaux aux refuges (comme la SPCA) et les faisons opérer.




Les « usines à chiots » réservent un sort horrible à nos chiens


Posté par audreypapineau le Sam, 2005-12-17 12:21. Protection des animaux
On dit que l’on peut juger le bon fonctionnement et la grandeur d’une société selon le traitement qu’elle inflige aux animaux. Si l’on suit cette pensée, alors on peut dire que le Québec affiche un grand retard par rapport aux autres provinces et pays. En effet, on compte près de 2000 « usines à chiots » qui travaillent dans l’ombre au Québec. Ces usines sont en fait des hangars ou des entrepôts où, dans des conditions précaires, les propriétaires cherchent à « produire » le plus de chiots possible à un coût moindre afin d’en tirer le maximum de profit.
Malheureusement, pour arriver à leurs fins, ils vont faire fît des lois en place et négliger la santé et le bien-être des chiens. Victimes du profit, les pauvres bêtes se verront réduites au statut de marchandises avant d’être transportées dans des conditions horribles vers les animaleries. Ces dernières ont également une grande part de responsabilité, puisqu’elles cherchent à être compétitives et à faire un maximum de profit. La majorité des animaleries vont donc fermer les yeux devant l’odeur alléchante de l’argent.

Lorsque ce chien d'un chenil insalubre de Blainville a été sauvé par la SPCA , il pesait quatre fois son poids en raison de tous les excréments qui étaient collés dans son poil.
Lorsque le client d’une animalerie pose un regard attendri sur un chiot, il est loin de se douter que ce dernier a été élevé dans un hangar non chauffé et non climatisé dans lequel s’empilaient plus d’une centaine de cages désuètes. Il ne se doute pas non plus que la mère du petit chiot est traitée comme une « machine à reproduire » depuis l’âge de 6 mois et qu’elle a passé toute sa vie dans une cage dont le plancher est défoncé. En raison de la petite taille de la cage par rapport à la sienne, la pauvre chienne a souvent écrasé et tué par le fait même l’un de ses rejetons en tentant de se mouvoir. La petite dépouille n’est ramassée que quelques jours plus tard par le propriétaire, si par chance la petite chienne affamée ne la pas encore dévorée. De plus, avant d’être arraché précocement à sa mère à l’âge de trois semaines, le petit chiot a probablement reçu les excréments des chiens des cages aux étages supérieurs.
Lily a également été sauvée par la SPCA du chenil insalubre de Blainville. Pendant quatre ans, elle a dû manger les carcasses des autres chiens et vivre dans leurs excréments.
Mais toute trace de cette vie misérable sera masquée par le parfum et le shampoing à l’animalerie où il sera conduit. Il aura de faux carnets de vaccination émis par des vétérinaires sans scrupules également assoiffés d'argent.
Quant aux chiots de l’ « usine » qui, faute de suivis vétérinaires, seront atteints par un nombre incalculables de maladies, ils seront jetés comme de simples sacs à ordures ou encore brûlés afin d’éliminer toute trace.
Alors, ignorant tout, le pauvre client de l’animalerie qui pense sauver le petit chiot de sa cage ne fait qu’encourager ce cruel commerce. Les propriétaires des usines à chiots et les animaleries sont comblés, le nouveau propriétaire du chiot a la conscience tranquille, le gouvernement fait l’autruche ; tout le monde est content, mais pourtant…
Si cette situation vous touche, vous pouvez envoyer une lettre au ministre de l'environnement, vous pouvez faire des dons à la SPCA, ou encore inciter ceux qui ne connaissent pas cette problématique à aller visiter les sites internet suivants: un site québécois sur les usines à chiots et un site français sur les usines à chiots. Vous pouvez également signer une pétition destinée au gouvernement du Québec..
Vous pouvez également regarder mon court reportage dans lequel on retrouve une entrevue avec le propriétaire du Centre Canin de Montréal ainsi qu'une entrevue avec une propriétaire de chiens Mira.


Audrey Sabourin-Papineau

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Les usines à chiots du Québec
Anonyme, Jeudi, Juin 4, 2009 - 17:38
Author: David Ruffieux

Les Français qui se pressent aux réunions d’information, ici et là, pour tenter l’aventure québécoise, l’immigration, les études ou le travail dans cette grande province du Canada, seraient loin de se douter, tout comme moi il y a seulement quelques années, que le Québec est un enfer sur terre pour un grand nombre d’animaux.

Ceux qui ont déjà lu mes analyses savent de quoi je parle. Mais pour ceux d’entre vous qui seraient tentés par l’expérience de venir essayer les raquettes et la tire de sirop d’érable, il est des aspects inconnus du Québec beaucoup moins bucoliques et certainement moins charmeurs. S’il y avait une bonne raison de venir voir le Québec, je pense que ce serait pour se rendre compte, par soi-même, de l’état déplorable du bien-être des animaux. Nous ne sommes pourtant pas dans un pays du tiers-monde, au sens commun du terme, ce n’est pas la Chine et sa multitude de cruautés envers les chiens et les chats, ni la France et son industrie du foie gras ou sa corrida. La brutalité du Québec envers les animaux défie tout entendement et pour ma part, il est bien certain qu’on peut juger du caractère d’une nation par le traitement qu’elle reserve aux plus faibles. Je vis au Québec depuis 7 années, dès lors, je peux humblement me permettre d’emettre un jugement sur une question qui me trouble.
En effet, il me paraît maintenant évident que le respect des animaux peut améliorer grandement la nature des individus et renforcer le respect des uns pour les autres. Quoi qu’en disent certaines personnes qui s’étonnent qu’on veuille bien s’occuper du bien-être des animaux, il n’y a pas antinomie, ni contradiction. Je trouve personnellement assez surprenant d’entendre à l’occasion des personnes pour nous expliquer qu’il ne faut pas s’occuper des animaux car il y a trop de misère humaine. Selon moi, les souffrances qui sont nombreuses en ce bas monde s’ajoutent et ne sont pas exclusives; toutes valent la peine qu’on essaie de les corriger. Que dire alors des souffrances qui sont perpétrées de manière quotidienne, mais passées sous silence, de celles qui sont cachées aux yeux du public, toutes ces maltraitances entretenues par l’inaction du pouvoir politique, de la corruption du système légal et du mercantilisme le plus bas et le plus sous-developpé.
S’il est une bonne raison de venir au Québec, ce serait pour faire entendre la cause animale. Mais soyons conscient qu’il n’est pas une seule démocratie au monde qui traite les animaux avec moins de respect et de justice que le Canada. L’actualité nous le prouve encore à la lumière de la réaction quasi unamine de tous les partis politiques pour défendre la chasse au phoque, condamnant la décision de l’Union européenne de bannir les dérivés des produits du phoque. Il fallait voir ces honorables députés du Canada prenant la parole, le 05 mai 2009, dans une chambre des communes (presque vide) à Ottawa, pour critiquer sévèrement l’hypocrisie de leurs “homologues” européens. Il n’est pas étonnant que la législation canadienne concernant la cruauté envers les animaux soit à l’image de ces députés, l’une des plus arrièrées au monde. Au Québec, les problèmes sont multiples; les élevages clandestins de chiens abondent, les vols d’animaux avec la complicité des fourrières sont communs, l’industrie porcine est considérable, les tests sur les animaux recoivent des exemptions fiscales, la chasse et la trappe représentent un pilier de l’économie du Québec. Tout semble bon pour faire de l’argent de la manière la plus sordide et la plus inhumaine possible. Voici une image du Québec que peu d’Européens soupçonneraient alors qu’ils préparent fébrilement leur prochain vol vers Montréal.
Le Québec est devenu une terre d’accueil pour tous ces gens d’affaires de moindre envergure, ayant bien compris néanmoins le néant juridique, le vide légal, permettant à chacun et chacune de monter son élevage de chiens, à la maison, au fond d’une cour, dans une ferme, un hangar, si possible à l’abri des regards et des curieux. On les appelle les usines à chiots. Il s’agit de centre de production de chiots qu’on retrouve ensuite dans les animaleries à travers le Québec. Il est difficile d’imaginer l’état d’insalubrité des ces usines à chiots, qui sont disséminées à travers la province, et dans lesquelles on trouve des chiens enfermés toute leur vie dans des cages minuscules, où on les laissera mourrir, le plus souvent après plusieurs années de mauvais soins. Ces chiens sont souvent couverts d’excréments, de parasites, sont malades et les propriétaires de ces établissements éliminent les plus faibles et réduisent les coûts au minimum. Seul le profit compte. En particulier, les femelles peuvent avoir jusqu’à 3 portées par année lorsqu’elles ne sont plus fertiles, elles sont tuées, vendues ou abandonnées. Il est difficile d’imaginer qu’il existe entre 1500 et 1800 usines à chiots au Québec! Personne ne sait précisément le nombre et quelque 400 000 chiots naissent chaque année dans ces établissements. Beaucoup mourront, faute de soins, à cause des maladies, du froid ou de la chaleur durant les transports vers les marchés et les animaleries.
Des centaines de personnes opèrent ces usines à chiots et il est clair qu’elles ne veulent pas de publicité sur leurs activités. La loi du Code criminel (S-213), concernant la cruauté animale existe, mais son application reste très problèmatique, parce qu’il faut prouver l’intention de causer un acte cruel. La Société protectrice des animaux (SPCA) n'a qu’un pouvoir limité pour poursuivre les éleveurs. Dans les faits et d’après la Section 466 du Code criminel du Canada, seuls les cas les plus extrêmes de cruauté et de négligence sont considérés. Et pour ceux-là, il faut obtenir un mandat de perquisition émis par un juge. Les inspecteurs doivent avoir des preuves solides, des témoignages et des plaintes signées. A cet égard, la Fédération canadienne des sociétés humaines rapporte que seulement un quart des 1% des cas de cruauté animale portés en justice aboutissent à des amendes, souvent dérisoires. Pour bien comprendre la situation au Canada, personne n’a jamais été en prison pour des cas extrêmes de cruauté, comme traîner un chien derrière son véhicule, le battre à mort, ou encore laisser mourrir un animal de faim ou de froid. Ces usines à chiots ne sont pas répertoriées et opèrent en toute légalité avec la complicité de certains vétérinaires peu scrupuleux et de notables locaux. C’est une économie qui fait intervenir une chaîne de partenaires, d’éleveurs, de vendeurs, d’intermédaires et les animaleries en aval. Inutile de préciser qu’il ne faut jamais acheter un animal de compagnie dans une animalerie.
Dernièrement, plusieurs actions ont été intentées contre ces types d’établissements et leurs propriétaires. Par exemple, le 12 décembre 2008, la Humane Society International du Canada (HSI) et la SPCA ont procédé à leur troisième démantèlement d'une usine à chiots en moins de trois mois. Une centaine de chiens vivaient dans des conditions effroyables et beaucoup étaient dans un état pitoyable, affaiblis et sales. Toujours en 2008, ce sont deux propriétaires de chenils qui après avoir fait l'objet de perquisitions dans la région de Lanaudière au Québec, comparaissent au Palais de justice de Joliette. Ils devaient répondre de deux chefs d'accusation, l’un de cruauté envers les animaux et l’autre de négligence criminelle. Dans le premier cas, 109 chiens vivaient dans des conditions exécrables. Dans le deuxième, la SPCA avait saisi un autre groupe de 160 chiens. D’autre part, Nicole Joncas, la directrice du refuge pour animal Teja, a intenté un procès au ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec. Cette militante courageuse et déterminée veut que le gouvernement applique la Loi sur la protection sanitaire des animaux (P-42) contre les dirigeants d'usines à chiots de la province. La cause implique Anima-Québec, un organisme à but non lucratif, mandaté par le gouvernement, dont le rôle est d'effectuer des inspections et de faire appliquer les règlements.
Il est intéressant de s’arrêter un instant sur Anima-Québec dont la mission peut aller jusqu’à la “saisie des animaux, si la santé et le mieux-être des chiens ou des chats sont menacés ou s’il y persistance dans les infractions et début du processus judiciaire.” Nicole Joncas reproche à Anima-Québec sa lenteur d’exécution. En effet, dans son difficile procès contre les autorités du Québec, Nicole Joncas stipule que c’est seulement en juin 2006, soit 15 mois après une plainte enregistrée auprès d’Anima-Québec, que les inspecteurs de l’organisme sont intervenus dans l’usine à chiens concernée par l’action en justice. L’inaction d’Anima-Québec, qui jouit du soutien du gouvernement et peut agir avec la force de la loi, est assez troublante, voire suspecte, surtout au regard des conditions misérables des élevages et devant l’urgence d’intervenir rapidement pour épargner des souffrances inutiles. Ce qui expliquerait, à mon sens, la lenteur d’action d’Anima-Québec, c’est la présence des représentants des vétérinaires et de l'industrie des marchands d'animaux au sein de son conseil d'administration et parmi ses donateurs. On serait tenté de voir chez Anima-Québec une situation de conflits d'intérêts les condamnant à l'inaction, alors même que d’autres organismes, comme le refuge Teja, montrent un zèle toujours renouvelé pour le bien-être animal et cela, malgré très peu de moyens.
Devant l’ampleur du phénomène des usines à chiots, le pouvoir politique doit prendre des mesures. En attendant, les quelques militants des droits des animaux, qui sont très rares au Québec et qui forment un public très hétéroclite, s’organisaient en cette fin de semaine. En effet, le 03 mai 2009, 300 d’autres eux, provenant de divers organismes de défense des animaux, ont manifesté à Québec devant l'Assemblée nationale, pour appuyer un groupe de travail sur le bien-être des animaux de compagnie. Celui-ci fut récemment mis en place par le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, Laurent Lessard. Dans le cadre de ce groupe de travail, le ministère en partenariat avec une trentaine d'organismes recherchent des améliorations potentielles à la Loi P-42. On souhaiterait, au passage, que comme en Ontario, les chiens ne relèvent plus du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation et que l’animal soit considéré, dans la loi provinciale comme dans la législation fédérale, un être sensible et non pas un simple et vulgaire objet. Pour protester contre l’absence de législation et le manque de répression, l'organisatrice de la manifestation à Québec, Micheline Robitaille s’exprime: «Il n'y a qu'un organisme, soit Anima-Québec, qui a le droit de le faire et ils n'ont que quatre inspecteurs pour toute la province! En Ontario, les SPA ont été mises à contribution et il y 200 personnes pour faire appliquer la loi.» D’ailleurs, l’Ontario vient de faire mieux que le gouvernement fédéral en votant sa propre loi provincial qui est entrée en vigueur en mars 2009. La loi prévoit des peines de prisons de 2 ans, des amendes de 60 000 dollars et l’interdiction à vie de posséder des animaux de compagnies! De plus, la loi punit les actions visant à causer des injures à des animaux travaillant au sein des forces de l’ordre, tels que les chevaux et les chiens. Bravo l’Ontario! Le Québec, tout comme l'Ontario, ne peut que s’inspirer de ces initiatives quasi révolutionnaires. Ajoutons à cela, que le candidat libéral Geoff Kelley était venu encourager les manifestants et ramasser une pétition de 52 584 signatures pour faire bannir les usines à chiots au Québec.
Les médias commencent à s’intéresser au sujet et il faut noter la contribution du reportage sur les usines à chiots à l’émission ‘Enquête’ à la télé de Radio-Canada. Dans cette émission, assez édifiante, Mme Piché et la journaliste Mme Dupuis s’étaient faites passer pour des éleveuses de chiens et allèrent visiter des usines à chiots avec une caméra cachée. Si la souffrance animale pouvait s’exprimer avec des mots (et il s’agit d’animaux de compagnie) on aurait sans doute beaucoup de mal à verbaliser l’obscène réalité des conditions de vie et de mort de ces milliers de chiens. Le reportage montrait des animaux gardés dans des conditions inimaginables ayant de multiples pathologies, des déformations, des problèmes de peaux, des infections aux yeux et aux oreilles et des fourrures sales. La vie entière des animaux de reproduction se passe dans des cages en grillages, dans des endroits imprégnés d’une odeur fétide d’ammoniac. La malpropreté, l’insalubrité et la cruauté des usines à chiots règne au Québec, mais peut-être plus pour longtemps grâce au courage de quelques personnes.
Le Québec est un lieu unique en terre d’Amérique que certains Francais voient parfois comme un Eldorado. C’est un lieu pittoresque par sa géographie, l’histoire de sa nation et sa culture. Outre l’amabilité des Québécois, on aimerait qu’ils s’impliquent davantage dans la cause animale et exigent du gouvernement qu’il réglemente, inspecte et poursuive, si nécessaire, les établissements qui font la production d’animaux. Certains ont essayé de regrouper les ami(e)s des animaux du Québec, avec insuccès. Il faut regretter de ne trouver qu’une poignée d’activistes sur une population de 7 millions d’individus et ce n’est pas un 'maudit Francais' qui le dit, mais l’activiste Janine Larose une vraie Québécoise pure souche, qui dans son franc parler, explique le problème ainsi: “Les québécois, ce sont des voyeurs, pas des activistes. On est une petite poignée d'activistes et toutes dans la soixantaine. On n'a aucune idée s'il y aura de la relève. Quant aux gars, ils sont totalement absents. On aurait besoin de bras des fois pour certaines activités mais on les voit pas.”
Peut-être trouverons nous quelques jeunes recrues, des rescapés d’une époque incertaine, qui ayant échappé à l’apathie sociale causée par les émissions de télé réalité, auront le coeur et l’intelligence de résister et d’être la voix de ceux qui n’en ont point.
Bibliographie et informations complémentaires.
1) ‘Enquête’ à la télé de Radio-Canada au lien suivant: http://www.radio-canada.ca/emissions/enquete/2008-2009/Reportage.asp?idDoc=68514
2) Pour plus d’information consultez le site http://www.nopuppymillscanada.ca/
3) Si vous voulez visionner le reportage de CBC, suivez ce lien : http://www.cbc.ca/video/popup_eurovision.html?http://www.cbc.ca/montreal/media/video/newsatsixmontreal/20081127margisonpuppy.asx
4) Le groupe No To Cruelty (http://www.notocruelty.com/) organisa une manifestation au Palais de justice de Montréal le 17 décembre prochain à 9h lors de la comparution de Carole Lapalme, propriétaire d’une usine à chiots située à St-Lin. Les autorités ont perquisitionné 157 chiens à cet endroit le 1er octobre dernier. Pour plus de détails sur la manifestation, suivez ce lien : http://www.notocruelty.com/protest.cfm
5)Humane Society International: https://community.hsus.org/humane/notice-description.tcl?newsletter_id=29845044
6)The Gazette: http://www.montrealgazette.com/Dogs+suffering+from+neglect/1074170/story.
7) Plusieurs pays ont en place des lois strictes à l’égard des droits aux animaux ce qui empêche l’existence d’endroits tels les usines à chiots. Malheureusement, selon une étude récente du International Found for Animal Welfare (IFAW), ‘la législation canadienne régissant la cruauté envers les animaux est très en retard sur les lois de nombreux pays’ tel la Croatie, la Malaisie, la Pologne et l’Afrique du Sud:
‘Le Canada à la traîne’:ww.ifaw.org/Publications/Program_Publications/Regional_National_Efforts/North_America/Canada/asset_upload_file88_51336.pdf
8) Dans cette province canadienne, n'importe qui peut se lancer dans l'élevage de chiots.http://protectionanimale.com/usines.htm
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Aidez à fermer les usines à chiots! Adoptez et signez aujourd'hui!

Ceci est un message de la Société de la Protection des Animaux

pour plus d'informations visitez:

http://www.nopuppymillscanada.ca/

Puppy Mills

Our puppy mill campain focuses on shutting down puppy mills by not supporting pet sotres that run the puppy mills industry, adopting and fixing your pets, and collecting signatures to ask Jean Charest to finally make a law in Quebec to ban puppy mills. People show have to get a permet to breed animals. There should be a limit on how many you can breed at once and inbvestigators making sure future pets are well fed, have exercise and receice vetenarian care. Why is Quebec still the puppy mill capital of North America when so many of us hate puppy mills? Ask the governement.

What is a puppy mill you ask?


The Canadian Kennel Club Policy Statement – Definition of a Puppy Mill (Effective March 2002)
"The term “Puppy Mill” generally refers to a high-volume, sub-standard dog-breeding operation, which sells purebred or mixed breed dogs, directly or indirectly to unsuspecting buyers. Some of the characteristics common to puppy mills are: (a) Sub-standard health and/or environmental issues; (b) Sub-standard animal care, treatment and/or socialization;(c) Sub-standard breeding practices which lead to genetic defects or hereditary disorders; (d) Erroneous or falsified certificates of registration, pedigrees and/or genetic background.

Note: These conditions may also exist in small volume or single breed establishments."

They sell primarily to retail pet shops (usually via a broker), but occasionally sell directly to individual consumers. Dogs are bred solely for profit, with no concern for their physical health or psychological well-being - most are disease-ridden; all are force-bred continuously. They often use "Kennels" or "Farms" in its business name. Dogs' and puppies' are usually in squalid living conditions and are off-limits to the public.

If you think you have been to a mill or have seen substandard conditions at a breeders establishment please call your local SPCA/Humane Society IMMEDIATELY to report what you saw. Only witnessed accounts can be reported.


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More on puppy mills:


Puppy mills are thought to have originated after the Second World War, when farmers, generally in the mid-west, were searching for new income generators. They decided to make money by selling dogs. The farmers had little knowledge of canine husbandry and often began their ventures with very little money and within absurd conditions. They were out of money and therefore, the dogs were highly neglected[1].
A puppy mill is a place where a lot of dogs are raised, and where breeding is done only for financial gain rather than to protect breed integrity. These dogs are then sold to pet stores. Puppy mills are places where dogs are kept in deplorable conditions with little or no medical care, and where pet stores can obtain puppies to sell at all times so puppies are always available in the store. Dogs live most or all of their lives in overcrowded cages and when fertility wanes and they are of no more use, they are killed or left to die1. These breeders can be found everywhere, in garages, backyards, basements, but are usually hidden away in the woods or in the country so no one can find them and complain[2].
The Criminal Code, which is a federal law, stated by ANIMA-Quebec “prohibits the killing, mutilating, poisoning, or voluntary maiming of animals, the voluntary causing of pain to an animal or bird, suffering or injury, unnecessarily, the abandoning of it while in distress or the voluntary neglecting or failing to provide food, water, shelter and adequate and sufficient care. Fighting or harassing of animals is prohibited” [3]. This law prohibits animal cruelty, but it is hard to obtain proof of inflicted cruelty[4]. The Animal Health Protection act, a provincial law, states very similar rules, but even has a specific section mentioning the important of cleanliness, layout and installation requirements for businesses that sell or breed animals[5]. This law, unlike the Criminal Code, does not require proof of wilful neglect, and thus is easier to apply, but still scarcely punished. One of the major reasons why puppy mills are so difficult to find and the involved criminals are so difficult to catch and punish in Quebec is that compared to our western neighbour, Ontario, that has 200 inspectors, we, here in Quebec, have a mere 5. This immense lack in supervision of our breeding industries raises the prevalence of law-breaking businesses. In 2005, the Quebec Ministry of agriculture, Food and Fisheries (MAPAQ) announced the enactment of a regulation that permits the inspection of holding, breeding and selling facilities for cats and dogs, and responsibility of the infliction of these rules was given to ANIMA-Quebec. The section pertaining to security and sanitation of these animals (law P-42) is now in effect, but ANIMA-Quebec only has five inspectors in all of Quebec to apply this law. With this law, ANIMA-Quebec can inspect any suspected area without a mandate because it is a government funded association. The SPCA, on their side, can only make inspections when a mandate is obtained by showing adequate visual and formal proof of cruelty situations, and complaints can only be followed if a complaint deposition is signed by the plaintiff 2. These laws, however, are easy to navigate around due to the lack of reinforcement because the breeder of these poor puppies can either sell directly to consumers or camouflage their businesses so they do not get noticed by law officials[6]. Puppy mills are clear violations of almost every law, yet of those that have been shut down in the past year, the usual punishment only includes seizing of most or all of the animals, a prohibition to own animals for a certain period of time, and sometimes, in the worst of cases, fines and community service. Quebec is the only place in North America that does not have proper applied laws against animal cruelty and the operation of commercial kennels[7].
Living conditions of dogs in these types of businesses will now be discussed, and information will further be examined in the next section about a particular investigation. In most puppy mills, dogs are kept in wire bottom cages that are too small and overcrowded. Dogs are kept in their own excrements, and often times, if wire-bottom cages are kept one on top of the other, feces and urine will fall from the top cage to the one underneath. Instead of cages, some puppy mills keep their dogs in a run, which is a larger enclosed space, where the dog is on the floor but caged all around. While these are a bit better for cleanliness and less traumatizing to the dog’s paws, they are still overcrowded and do not get cleaned. There is also no heat in the winter, and no air conditioning in the summer, so many dogs can get sick from the cold in winter and die of heat stroke in the summer. The reproductive female starts her career at 5 months where she is placed in a cage where she will be bred, give birth, and stay with her pups until they are sold. The process starts over again 2 to 3 times a year until she is no longer useable. Her first heat is at 6 months, and she starts to reproduce at that early age. During pregnancy, the bitch receives no vet follow up because the breeder does not want to pay extra fees2. As mentioned, she gives birth to her puppies in the already overcrowded cage and because there are so many dogs, bitches will accidentally kill their pups by walking in them. Puppies also often get their paws caught in the wire bottom floor and either lose that limb or suffer terrible injuries. Food provided is dirty and contaminated, and the water is worse. Food and water is not always provided. In an ideal situation, puppies are weaned away (gradually removed) from their mother at 8-12 weeks of age. In puppy mills, puppies are abruptly taken away at the age of three weeks[8]. This is bad emotionally and behaviourally for the puppies, and dangerous for the mother because when pups aren’t weaned from breast milk gradually, the mother will develop mastitis, which is an inflammation/infection of the teats. These three week old puppies are put away in separate, tiny cages without food of water to be transported to another destination. Upon arrival, sick or dead puppies will often be cast away, and healthy puppies will be evaluated, breed separated, and brought to the selling locations across Canada and USA8. Mothers are often emaciated, because of lack of proper nutrition and the breastfeeding. They may develop skin diseases from constantly being covered in excrements and have paw or leg infections and deformation from constant walking on the wire caged floors. The female stops being an effective breeder at around 5 or 6, and thus is of no use to the owner. To get rid of them, they may be sent away to research facilities, killed, usually with a rifle or some other inhumane manner, or left to die alone in the same cage they were placed in at 5 months2. Dogs in puppy mills are often very matted, which causes skin irritation, are filthy, have some stage of periodontal disease, and have eye infections and ulcers. Dogs in puppy mills are sometimes debarked by ramming a steel bar down the throat and rupturing vocal cords[9].
An investigation by Radio-Canada, featured on the Radio-Canada program “Enquête” on Thursday November 20th, 2008, showed the atrocities committed by puppy mill owners and definitely underlined the in depth corruption of these industries. The investigation was done by the journalist Josée Dupuis with the help of Animal Health technician Melanie Piché. These two women decided to search the internet for websites where puppies for sale were advertised, to try and reveal the truth as to where these puppies were being raised. Most ads say “raised in family/home environment”, and knowing better, they decided to investigate some places. They chose the first place on a website where the ad stated just that, and had pictures of different dogs on the same pink couch. The two women thought this was odd and went to visit the breeder near the outskirts of Drummondville. They claimed to be buying a puppy, and were only allowed into one room with a few different puppies. When they asked to see the puppies’ parents, he told them to wait and went to get them, stating they weren’t allowed in the following room. When he was gone, they went in to that same room and found exactly what they were hoping not to find. At least 100 dogs were kept in wire bottom, overpacked cages that filled the room, and when the women approached the cages, many of the females growled, stepped on their puppies due to the agitation, were covered in their own excrements, and many didn’t have food or water. When the owner found them he got angry and made them leave the premises, but the information and proof they got from that short visit was enough to fuse their investigation. They decided to find new puppy mills, but this time, showing a different approach. They were pretending to be new breeders in the business and looking for advice. The next farm they visited was the farm of Robert Beaunoyer, an owner who planned on retiring and selling his business. They got more valuable information from this man, including the fact that the pups and dogs have never received any veterinary care, that he vaccinates the puppies himself by getting medication under the table from veterinarians, and that the only puppies who do receive medical care are those that will be sold to brokers, the companies that then sell puppies to pet stores. Dupuis and Piché buy four reproductive females from a third puppy mill owner for veterinary examination and care if needed, and then for adoption, to see if their assumption that the reproductive females are the most poorly treated and at highest medical risk. After examination, it was found that one bitch has three cancerous mammary tumours and was carrying a dead fetus, another had a severe ear infection and would only give birth to one pup, and the two last females had severe ear infections, periodontal disease, and would each have five puppies. All of the dogs had odd, withdrawn behaviour and would need rehabilitation and socialization periods. Josée Dupuis and Melanie Piché continued their investigation by visiting other puppy mills, including the notorious Rawdon puppy mill that will be mentioned later on, and continued buying females for medical exam, care, and adoption[10].
Puppies from puppy mills can be found everywhere, on the internet, the newspaper, in shelters, but are mostly found in pet stores8. When puppies are transported across Canada and the USA, they are then distributed to pet stores, and upon arrival are washed, groomed, and perfumed to look attractive to clients. Their cost will vary from $300 to usually around $900, depending on breed purity. False pedigrees are made, either by the puppy mill owner or pet stores and veterinary signatures are forged. Sales between puppy mill owners and pet shop owners are cash settled2. Dogs from puppy mills will often develop diseases or conditions once they grow a bit older, and if the client comes back to complain, the pet store will usually give them a new puppy instead of reimbursing them. Pet stores can’t afford to reimburse clients because the sickness or death of that puppy was most likely their fault. In pet stores, there is still no vet care so if the puppy is sick, they won’t know before that animal is sold8. The pups that do survive and are sold to clients often have behavioural and medical problems as they age, like traumatisms from leaving their mother too early, or the long truck ride. Others, from the living conditions at the puppy mill, may develop genetic problems or long term health problems9. It is thus very difficult for clients to inform themselves on where puppies come from.
During the Radio-Canada investigation, Josée Dupuis and Melanie Piché went to a few pet stores and asked the owners or managers if they knew where their puppies come from. None of them admitted buying their puppies from puppy mills. Most stated that either they didn’t know or care to investigate, that all they asked for was to receive the puppies they paid for. Others said they didn’t need to look into it because the driver delivering the puppies said the conditions were fine10. Veterinary corruption is another issue with puppy mills. In the Radio-Canada investigation, Dupuis and Piché, undercover as breeders, asked a veterinarian, Ian Roberge DVM, the one from who Robert Beaunoyer gets his vaccines, to get a supply of core vaccines to give to their dogs themselves. The veterinarian willingly gives them the vaccines, as he does with Beaunoyer, but business is done under the table. This is illegal practice. It is against the rules of l’Ordre des Médecins Vétérinaires du Québec (OMVQ). Only Dr. Roberge has been proven guilty, but there are probably many more veterinarians in Quebec that collaborate with other puppy mills.
Different organizations that have worked against puppy mills and have participated in shutting down those industries include the Society for the Prevention of Cruelty to Animals (SPCA), The Humane Society International/Canada, The Canadian Society for the Prevention of Cruelty to Animals, and ANIMA-Quebec. The two most important organizations in Quebec are the SPCA and ANIMA-Quebec, because they are the ones that conduct investigations, and have inspectors, whereas the other two organizations simply aid in seizing animals and rescuing them because they work on a national level. ANIMA-Quebec’s mission statement is: “ANIMA-Québec is a non-profit organization whose mission is to watch over the safety and welfare of cats and dogs through activities of inspection, education and information”[11]. Because this organization is government funded, they have the right to inspect suspected location without a mandate. The SPCA’s mission statement is: “protect animals against negligence, abuse, and exploitation; represent their interests and ensure their well-being; raise public awareness and help develop compassion for all living creatures”. Their goal is to prevent cruelty to animals and they do this through a number of actions: they receive and care for almost 25 000 abandoned animals per year, they educate the public about sterilizing their animals, advise people when adopting to prevent impulsive adoptions and respond and prosecute animal cruelty cases. This organization, although it can respond to cases, it needs to obtain a mandate from a judge to perform a seizure, unless the people from who they are seizing the animals comply[12].
April 2005 , La Plaine, Québec
10 November 2005, Blainville, Québec
February 2006 , Sainte-Agathe, Québec
19 January 2007 , Saint-Mathieu, Québec
26 January 2007 , Disraeli Paroisse, Québec
6 February 2007 , Saint-Hyacinthe, Québec
8 February 2007 , Notre-Dame-des-Prairies, Québec
22 February 2007 , Saint-Robert, Québec
18 May 2007 , Thetford Mines, Québec
26 September 2008 , RAWDON, Québec
1 march 2009, outskirts of montreal, 60 dogs rescued, given willingly by owner and still within the law
[1] Norma Bennett Woolf, “Just What is a Puppy Mill ?”, cited on http://www.canismajor.com/dog/puppymil.html
[2] Anonymous, “Puppy Factories, Kennels and Pet Stores in Quebec.”, cited on http://protectionanimale.com/usines.htm
[3] ANIMA-Quebec, “Federal Legislation”, cited on http://www.animaquebec.com/index.php?option=com_content&task=view&id=15&Itemid=6
[4] Irwin Block, “Puppy Mills a Cruel Reality Across Quebec”, cited on http://www.theprovince.com/travel/asia/Puppy+mills+cruel+reality+across+Quebec/1151485/story.html
[5] ANIMA-Quebec, “Provincial Legislation”, cited on http://www.animaquebec.com/index.php?option=com_content&task=view&id=16&Itemid=6
[6] Anonymous, “Inside a Puppy Mill”, cited on http://stoppuppymills.org/inside_a_puppy_mill.html
[7] La Patte Douce, “L’Horreur des usines à chiots”, cited on http://www.lapattedouce.com/dossiers.html
[8] Anomymous, “Usines à Chiots, Chenils et Animaleries du Québec”, cited on http://www.geocities.com/protectionanimale/usines.htm
[9] Anonymous, “What is a Puppymills”, cited on http://www.prisonersofgreed.org/index.html
[10]Josée Dupuis, “Attention Aux Chiens”, cited on http://www.radio-canada.ca/emissions/enquete/2008-2009/Reportage.asp?idDoc=68514
[11] ANIMA-Quebec, “Mission”, cited on http://www.animaquebec.com/index2.php?option=com_content&task=view&id=29&Itemid=6
[12] SPCA Montreal, “Give Animals a Chance”, cited on http://www.spcamontreal.com/apropos1.php?lg=en
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How To: Fight Puppy Mills


available from: http://www.dosomething.org/actnow/actionguide/11-ways-help-fight-puppy-mills?gclid=CL7OudXN-6ECFVZY2godA1ThFw




Puppy mills are large commercial breeding facilities that treat the animals poorly. Think of it like a factory for animals: dogs are a product made for profit. They are kept in small cages their entire lives in unsanitary conditions without attention, let alone love, and are bred as often as possible. Not surprisingly, this can lead to tons of health problems.
Don’t buy from a pet store! Most pet stores get their animals from mills, not local breeders. If you’re unsure, ask the shop owners and find out their source. Ask for written proof.
Make adoption your first option. Check your local shelters for a potential pet. There are many dogs waiting in shelters for good homes – and 25% of them are purebred! Or, look for a dog with a breed rescue group. Scan the internet for breed-specific rescue organizations.
Know how to recognize a responsible breeder. If you are choosing to buy from a breeder, make sure you are buying from one who cares about his or her dogs. They are not interested just in the sale, but they want to place the dogs with a caring family. Read theASPCA’s responsible breeding statement to be able to identify a responsible breeder.
See where your puppy was bred and born. Ask the breeder to look at the home where the puppy was born and ask to meet the parents (or at least the mother). Also, ask for an adoption contract that explains the breeder’s responsibilities, health guarantees, and return policy.
Internet buyers beware! If you buy a puppy based on a picture and a phone call, you have no way to see the puppy’s home or meet her parents. Also, those who sell animals on the internet are not held to the Animal Welfare Act regulations – and are not inspected by the USDA.
Share your puppy mill story with the us! If you have – or think you have – purchased a puppy-mill puppy, share your story. Every bit of evidence can help to get laws passed banning puppy mills.
Speak out! Write to your local and state legislators. Join the ASPCAAdvocacy Brigade for updates on legislation!
Tell your friends! If your friend is planning to buy a puppy mill puppy, spread the word and inform them of the cruelty of these facilities. Tell them about the wonderful dogs in animal shelters!
Think globally Use the internet (facebook, MySpace, a blog, etc.) to speak out about puppy mills! Link to the site on puppy mill information at DoSomething.org or ASPCA.org.
Act locally! When people are looking to buy or adopt a pet, they will often ask the advice of their veterinarian, groomer or pet supply store. Ask the owners if you can leave flyers with them.


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How to Organize a Puppy Mill Pet Store Protest
By Melissa Maroff,

Organize a Puppy Mill Pet Store Protest

According to investigations by the Humane Society of the United States and other major animal protection organizations--the overwhelming majority of pet stores (almost all) acquire their dogs from puppy mills--this is the only way for them to obtain a continuous supply of "stock" at an affordable price, since profit is their bottom line.Puppy mills are factory-like breeding operations where dogs suffer most of their lives, if not their entire lives in stacked, overcrowded cages being bred over and over to supply pet stores with puppies and for online sales as well. They receive no exercise, no socialization and minimal veterinary care. When these dogs are no longer "useful" they are normally destroyed.Puppy mill puppies often have a host of health problems due to irresponsible breeding and neglect, yet pet stores continue to sell them for large sums of money. Many people who purchase these sick dogs can't afford the medical bills and end up giving them up to shelters.Due to the recent trend in "teacup" breeds (made popular by certain celebrities), new pet stores have sprung up that sell puppies, further enabling puppy mills to stay in business. Unfortunately "teacup" just means a dog that was deliberately bred to be undersized and likely has genetic problems.A good way to enlighten the public about the harsh realities of puppy mills and the merits of adoption from shelters and rescues is to organize a protest at a store that sells dogs. By getting people not to patronize these stores, the demand will stop and in turn puppy mills will be forced to shut down. The following are ways to make your demonstration successful.

Instructions


1. Step 1

Choose a store that sells puppies from puppy mills as the location for your demonstration. It should have good visibility from the street and parking available nearby.


2. Step 2

Alert your local police department. You may need to obtain permission or a special permit and be asked to provide the basic details such as date, time and location of the demonstration. Different cities have different regulations--but it is within your First Amendment rights--and it's free to assemble.


3. Step 3

Contact local animal welfare and rescue organizations to get their input. They can also provide you with email lists of people to invite to participate. Register with Bestfriends.org (see Resources below). It's free to join, and as a member you will have access to a state-by-state network of thousands of rescue organizations.


4. Step 4

Email an action alert to animal organizations and individuals who support animal causes. Also send out Facebook and MySpace bulletins. Include the details such as date, time and place. Ask people to make signs, bring poop scoopers/baggies for cleanup, and perhaps their dogs and/or dogs up for adoption.


5. Step 5

Place ads in local newspapers and on websites such as Craigslist, Citysearch and others that are local to your area. Put fliers up at dog parks, public parks, libraries, school bulletin boards, markets and veterinarians' offices announcing the demonstration.


6. Step 6

Alert the local news outlets including TV stations, radio stations and newspapers. You might want to schedule guest speakers such as animal organization spokespersons. It always helps to have local and/or national celebrity guests. Find out if your city allows the use of microphones and PA systems; many do not.


7. Step 7
Bring literature, such as pamphlets to pass out, in order to educate people about puppy mills. Be prepared to share your knowledge with those who pass by and express curiosity or interest.


8. Step 8
Check with animal welfare organizations including the volunteer coordinator at Last Chance for Animals (volunteer@lca.org), Companion Animal Protection Society and Best Friends Animal Society; most would be happy to supply you with signs and materials for your pet store demonstration to educate the public and create change in your area.

Available from: http://www.ehow.com/how_2150779_organize-puppy-mill-pet-store-protest.html



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Rescue Me

Written by Vanessa
Friday, 16 March 2007 11:51



Rescue Me is a project to combat the greatest preventable cruelty inflicted upon dogs, cats and rabbits which is pet overpopulation. Each year in Canada, tens of thousands of unwanted dogs and cats are put to sleep because lasting, loving homes cannot be found for them. There are an estimated 7.3 million dogs, 8.3 million cats and tens of thousands of rabbits in Canadian households. Surveys indicate that at least 6 out 10 families share their homes and their lives with their pets. We plan to adopt more animals and reduce pet overpopulation through a series of sustained long term initiatives involving engaging creative multimedia campaigns; and by working even more closely with breed rescue groups, rescue groups, foster homes and animal shelters; and through low cost spaying and neutering services and the use of non surgical methods; and pet license and id fee differentials; and by improving lost and found services; and by encouraging training courses for pet owners; and conflict resolution between landlords and pet owners.



Saving lives is a long term program of The Humane Society of Canada, which must be sustained over the next ten years in order to achieve meaningful and measurable deliverables and results.
This challenge also drains scarce human and financial resources from charities and taxpayers, which could be used to address other urgent problems facing animals. However, perhaps worst of all, the death of each animal, is an obstacle to the moral progress of society as a whole – because it reinforces the view that animals are disposable and that we have no obligation to seek an end to a problem that has plagued society for generations and whose solution lies within our grasp. The way we treat animals is a reflection of the way in which we treat each other.
In just six years, two dogs and their offspring can theoretically be the source of 67,000 puppies. Cats, able to have three litters per year, are even more prolific. In theory, over a seven-year period, two cats and their offspring can produce 420,000 kittens. Rabbits can start having babies anywhere from three to six months of age, and females can become pregnant within days of having a litter. Theorically, two rabbits and their offspring can produce 8,388,608 kits in a seven-year period. The death of each animal shifts the blame away from irresponsible pet owners and on to the shoulders of humane societies who must bear the moral, ethical and practical burdens of coping with this problem.

Help shut down puppy mills! Adopt and sign today!

A message from the Society for the Protection of Animals

For more information visit: www.nopuppymillscanada.ca